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SORTIE à NARBONNE : les 4èmes et 3èmes latinistes à la découverte de NARBO MARTIVS

Par GENEVIEVE THOMAS, publié le lundi 3 juin 2024 13:14 - Mis à jour le lundi 3 juin 2024 19:49
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Vendredi 17 mai 2024 les 4èmes et 3èmes latinistes sont allés découvrir la ville de Narbonne (Narbo Martius) et ses vestiges romains : visite du site antique de l’Horreum en centre ville et son dédale de galeries souterraines.

 

Galeries souterraines de l’Horreum, en plein centre de Narbonne

Puis balade dans Narbonne en partant de la place de l’Hôtel de ville où une portion de la Via Domitia (voie romaine qui reliait l’Italie à l’Espagne) est toujours visible.

 

Portion de Via Domitia, place de l’Hôtel de Ville à Narbonne

Puis la place du forum près de laquelle une louve romaine (offerte par la ville de Rome en 1982) veille en haut de la rue droite :

 

Louve romaine, en haut de la rue droite qui donne sur la place du Forum

Enfin retour vers l’Horreum par la rue du … Capitole !

En sortant de l’Horreum, les élèves ont pu admirer les extérieurs de la Cathédrale, le cloître fleuri ; certains élèves sont entrés dans la Cathédrale.

                

Avant de rejoindre le Canal du Midi qu’ils ont longé jusqu’au musée Narbo Via : une bonne balade de 20 mn au bord de l’eau, avec vue sur les différents ponts (dont le pont habité ou pont des Marchands).

 

En 2ème partie : visite du Musée Narbo Via (ouvert en 2021). La visite a commencé par un temps d’observation du grand mur lapidaire (76 m. de long / 10 m. de haut) constitué de blocs d’anciens édifices romains de Narbonne et des environs. Ils ont choisi le bloc qu’ils souhaitaient reproduire : l’exercice les a bien absorbés – au point d’en oublier l’heure… Suite de la visite dans les autres salles avec les différents objets antiques : pièces de monnaie, sculptures, autel dédié à l’empereur Auguste … ainsi que les fresques et mosaïques d’un site archéologique de Narbonne : le Clos de la Lombarde. Les élèves ont apprécié la visite et les reconstitutions virtuelles.

La fin de la visite s’est faite « au pas de course » car notre chauffeur hâtait le retour vers Toulouse pour éviter les « bouchons » : c’était le jour de l’arrivée de la flamme olympique à Toulouse !